La pression, ce mal invisible qui impacte tout un collectif
Dans un contexte professionnel de plus en plus exigeant et parfois incertain, la santé mentale et physique des salariés devient un enjeu critique. Selon les données de l'INRS, le stress au travail concerne aujourd'hui plus de la moitié des salariés français. Loin d’être un simple mal-être passager, il se traduit par des absences, des départs et une baisse générale de la performance. Pourtant, des solutions existent, et RelaxOJob en fait partie.
Mais pourquoi l’entreprise devrait-elle s’en préoccuper ? Qu’a-t-elle à y gagner ? Cette difficulté de gestion de la pression et du stress n’est-elle pas finalement l’affaire de chacun ? En partant de mon témoignage personnel, en tant qu'infirmier et cadre de santé, je souhaite illustrer les conséquences de cette pression, autant sur les individus que sur les collectifs. Et surtout, pourquoi il est urgent d’agir.
1. Mon témoignage : Comprendre les signes d’un mal-être au travail
En tant qu'infirmier, j’ai souvent ressenti cette pression qui pèse sur les épaules des soignants (à transposer aux salariés en général). Ce n’est pas juste une journée compliquée ; c’est une accumulation qui s’installe, parfois insidieusement.
Les symptômes physiques et psychiques : Boule au ventre en arrivant, aigreur d’estomac, perte d’appétit, nuits sans sommeil. L’irritabilité et le manque de motivation deviennent des compagnons du quotidien.
Le cercle vicieux : Cette attente constante de la fin de la journée. Et pourtant, chaque matin, une nouvelle bataille commence.
En tant que cadre de santé, j’ai vu ces mêmes symptômes chez mes équipes. Et je les ai traversé également à travers cette fonction exigeante. Le risque est que cet état individuel et général se répercute sur l’ambiance, la qualité de service ou encore les relations et la performance collective.
2. Une réalité quotidienne : turnover, absences et démotivation
La gestion des équipes dans un contexte de mal-être au travail est un défi immense. Voici ce que j’ai constaté :
Gestion des arrêts maladie : Chaque absence crée un vide. Malgré les efforts pour combler le manque, le travail finit par s’accumuler, la qualité en pâtit, et le cycle continue. Cette pression de faire plus tout en faisant bien, de faire vite toujours en sécurité, d’être professionnel/humain tout en sachant la charge globale de ce qui est/reste à faire.
Turnover et perte de talents : De nombreux professionnels quittent leur poste par manque de reconnaissance, ou parce qu’ils ne trouvent plus de sens dans leur travail. Ceux qui restent doivent absorber la charge, former les nouveaux arrivants, tout en puisant dans des réserves déjà limitées.
Ambiance déséquilibrée : Un turnover important déstabilise des équipes qui, auparavant, fonctionnaient en harmonie. Sans ce ciment social, le collectif s’effrite. Certains salariés se sentent isolés ou ignorés, et les tensions augmentent.
Ces défis, je les ai vécus. Mais ils ne sont pas une fatalité. J’ai eu à cœur de créer un management centré sur l’humain qui recherche cet équilibre entre la responsabilité de l’organisation des soins et l’équilibre fragile de la dynamique individuelle et collective.
Ce témoignage peut se transposer à différentes entreprises, différents profils de structures. L’action peut venir de chaque maillon en prenant sa part dans cette dynamique globale. Chacun a son rôle (posture professionnelle, responsabilité, relations saines, bien-être personnel…). Mais ne serait-il pas intéressant de prendre cette dimension en amont et ne pas attendre que cela s’embrase et impacte l’entreprise ou la structure ?
3. Pourquoi l’entreprise DOIT agir dès maintenant
Les chiffres parlent d’eux-mêmes :
Selon l’INRS, L'absentéisme en France coûte environ 2 à 3 milliards d'euros par an, principalement dû au stress au travail et au burn-out. Les risques psychosociaux entraînent des coûts élevés pour les entreprises, notamment en termes de productivité et d'augmentation des accidents de travail. Les individus touchés par le stress au travail et le burn-out voient leur santé physique et mentale se détériorer, affectant leur qualité de vie.
Une équipe mal gérée est 25 % moins productive, et les conflits internes augmentent de 30 % en situation de stress prolongé.
Agir, ce n’est pas seulement répondre à une obligation légale, c’est préserver la santé financière, sociale et humaine de l’entreprise.
4. RelaxOJob : une solution concrète pour transformer l’expérience des collaborateurs
C’est face à ces constats que j’ai créé RelaxOJob, un concept qui répond aux besoins des entreprises et des collaborateurs. Voici comment il fonctionne :
Des ateliers de relaxation sonore et de libération émotionnelle (EFT) : Ces techniques permettent aux équipes de se recentrer, de relâcher la pression, et d’apprendre à réguler leurs émotions.
Des massages sonores : Une méthode originale et apaisante pour reconnecter corps et esprit.
Une approche humaine et personnalisée : Fort de mon expérience d’infirmier et cadre, je mets au service ma compréhension des enjeux du terrain et propose des solutions adaptées à chaque équipe/entreprise.
5. Ce que l’entreprise peut y gagner
En intégrant une stratégie bien-être comme RelaxOJob, les entreprises peuvent espérer :
Réduction de l’absentéisme : Des salariés plus équilibrés, c’est moins d’arrêts maladie.
Amélioration de l’ambiance de travail : Une équipe apaisée est une équipe plus collaborative et moins conflictuelle.
Fidélisation des talents : Montrer que l’entreprise prend soin de ses employés est un puissant levier d’attraction et de rétention.
Optimisation de la productivité : Un salarié motivé et épanoui est naturellement plus performant.
Conclusion : Investir dans le bien-être, un pari gagnant
Prendre soin de ses collaborateurs, ce n’est pas une dépense, c’est un investissement pour l’avenir. Avec RelaxOJob, les entreprises disposent d’un outil pour transformer leur culture, reconstruire leurs collectifs et redonner un souffle nouveau à leur performance.
« Prendre soin des individus, c’est construire un collectif plus fort. »
Que diriez-vous d’essayer ?
Anthony Soulard
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